Test du lanières-attaches de lit par Flora

Attacher ou se faire attacher, un grand classique de la soumission soft de couple que nous adorons tous et toutes. Mais, au moment venu, le manque de préparation se fait cruellement sentir si vous n’avez pas un kit BDSM chez vous. Vous recherchez en fin une écharpe pour bander les yeux et une ceinture pour les mains, mais l’attache est indécise et peu serrée…

Vous reconnaissez ce scénario ? Nous l’avons tous vécus ! Pour avoir vraiment quelque chose de fiable, rien ne vaut des attaches BDSM comme le modèle de cet article.

Test complet des attaches BDSM

Caractéristiques des attaches BDSM

Ces attaches se présentent sous la forme de deux lanières reliées entre elles. Quand vous les recevez, tenez l’anneau en métal principal (élément d’où partent les lanières) et vous découvrirez bien vite comment les installer. Idéalement, elles se mettent pour du sexe sur un lit. Vous glissez l’ensemble sous le lit en ne faisant que remonter sur les lanières sur le côté. Ainsi, il y a une vraie contrainte et le poids du matelas et des personnes dessus limite les mouvements des attaches.

Petite astuce, ne faites pas ressortir les lanières sur le côté comme sur le photo, mais aux deux bouts du lit. Ainsi, quand le soumis bouge, il ne remonte pas la lanière sur le côté. Cela le maintient dans une position « étirée » et réellement contrainte.

Pour vous donner une idée de la taille des lanières, avec Julien, nous avons un lit 160 x 200 cm et elles sont suffisamment grandes pour ressortir comme il le faut sur le lit. Les sangles des contraintes se règlent très simplement, comme pour un sac à dos.

Les attaches aux poignets et aux chevilles fonctionnent avec un scratch. Il est possible de les enlever et d’en mettre d’autres. On peut même imaginer les remplacer par des menottes classiques.

Est-ce mieux que des menottes classiques ?

Oh oui ! Et pas qu’un peu !

Le grand avantage est d’offrir une véritable contrainte. Quand le soumis ou la soumise est attaché, la liberté des mouvements s’en retrouve fortement réduite. Avec les menottes classiques, les mains sont certes attachées mais elles peuvent se bouger, à moins d’avoir une tête de lit avec des barreaux. Pour les pieds, les menottes sont souvent peu pratiques, mais ces attaches BDSM sont redoutables pour emprisonner les chevilles.

Si vous avez habituellement des menottes métalliques, le confort de celles-ci vous surprendra. En effet, même en faisant attention, les menottes métalliques ont tendance à couper un peu voire à limiter la circulation du sang. Certes, dans un jeu de soumission, la douleur n’est pas rare, mais je préfère en ressentir quand Julien mordille mon téton plutôt que quand des menottes me tiraille la peau des poignets. Avec les attaches en velours, ces contraintes vous permettent de bouger dans tous les sens sans douleur.

Le maintien des attaches est également exemplaire. Avec des menottes conçues pour les couples, il n’y a parfois pas de clé, mais un simple cran pour les ouvrir et quand vous bougez trop avec, elles ont tendance à s’ouvrir.

Outre la contrainte sûre et les attaches indolores, je souhaite m’attarder sur la position du soumis. Il se retrouve en croix à la merci de son partenaire. Quand je suis attachée, cela me met en émoi en attendant de voir ce que Julien souhaite faire de moi et quand je suis la personne qui attache, je me sens puissante et capable de faire tout ce que je veux.

Pour le soumis, la position n’est pas confortable sans être pour autant désagréable. Pour le dominant, il a le loisir de passer du visage aux pieds, de la poitrine au sexe aisément. La position facilite également la pénétration.

Pour attacher votre femme ou votre homme, ces attaches sont vraiment idéales !

Le soumis en croix, le dominant est tout-puissant pour satisfaire ses désirs ou ceux de son partenaire !

Comment attacher sa femme ou son homme ?

Vous essayez d’imaginer des scénarios réalisables avec ces attaches de lit ? Je vais vous vous aider un peu en vous donnant quelques pistes qui méritent votre intérêt :

• Où attacher la personne ? Au lit, sur le canapé, sur une porte, à un arbre… La confection des lanières et le réglage possible des sangles sont un régal pour multiplier les scénarios.
• Quels accessoires en complément ? Tous ! Plus sérieusement, on peut tout imaginer. En premier, je vous recommande les accessoires BDSM comme un bandeau, une cravache, des pinces… Mais, les sextoys sont également une superbe idée pour pimenter la soumission. Godes, vibromasseurs ou pour les messieurs, un fleshlight ou un stimulateur de prostate apportent le plaisir au-delà de vos espérances
• Quelle position pour le soumis ? La croix est la plus simple pour le soumis et le dominant. Mais, variez pour créer des scénarios et des actes sexuels nouveaux. Ainsi, avec ces attaches, il est possible de maintenir le partenaire attaché debout ou assis (le temps de réglage des sangles est plus long), sur un siège de voiture ou de le mettre sur le ventre, en position de levrette…

Ma conclusion sur les contraintes BDSM du lit attaches-lanières

Que vous soyez un couple débutant à la recherche de nouvelles expériences ou des habitués de la soumission, ces attaches répondent à vos besoins. Nous les avons depuis un mois et durant ce laps de temps, les menottes classiques restent au fond du tiroir. Nous adorons changer les scénarios et la possibilité de régler les sangles rapidement est un gros plus. Actuellement, nous les gardons sous le matelas et quand nous souhaitons attacher l’autre, nous le faisons en moins d’une minute. Cela ne casse en rien l’excitation naissante comme cela est trop souvent le cas avec les accessoires SM qui mettent vingt minutes à se régler…

De plus, les attaches sont de qualité et laissent augurer une longue durée de vie. Pour le prix (moins de 50€), c’est une valeur sûre qui devrait figurer dans la chambre de tous les coquins !

 

Vous désirez vous procurer ces solides attaches ? Voici un lien qui vous permettra de le recevoir chez vous en moins d’une semaine. De là à dire que vous êtes à une semaine d’un orgasme énorme, il n’y a qu’un pas…